L’Union européenne et l’Organisation mondiale du travail ont fortifié leur association pour construire un meilleur futur du travail et œuvrer pour la promotion du travail décent. Ceci permettra aux deux partenaires de compenser les dégâts causés par la pandémie du coronavirus sur le marché du travail.
Les deux partenaires se réjouissent de leur humble collaboration
L’OIT et l’Union européenne ont signé un nouvel accord le jeudi passé, faisant une mise à jour de leur interaction datant de 1958. C’est le troisième échange formel, après les derniers échanges écrits de 1989 et 2001.
Pendant cet échange écrit, Guy Ryder, le Directeur général de l’Organisation internationale du travail, et Nicolas Schmit, l'organe européen chargé des droits sociaux et du travail, ont signé leur entente sur un nombre de problématiques impériaux.
Nicolas Schmit, le commissaire a signalé que le marché du travail entre dans une profonde chute, l’épidémie du coronavirus a un grand impact sur l’emploi et la société. La digitalisation et la réorientation climatique changent le où, le comment, et le quoi du travail. Il est important d’agir rapidement et profiter de l’occasion pour relever les défis, en veillant tout de même sur l’intégration du plan social dans la mutation.
Le Directeur général de l’OIT estime que le partenariat avec l’UE est très capital pour l’organisation. En ce moment où le marché du travail subit une énorme crise, l’union sera forte pour une perspective focalisée sur l’homme et le marché du travail.
Le contexte de coopération est mis au point
L’OIT et l’UE travaillent sur une longue série d'idées et placent la société au cœur de leur perspective du futur du travail. Les deux grandes associations ont un accord partagé pour le multilatéralisme et de l’engagement d’une mutation vers un futur professionnel efficace et durable.
Les deux organisations sont déterminées à agrandir leur association pour l’amélioration du cadre de vie et de travail.